La preuve en image :
Sinon qu'avons nous vu pour l'instant d'Auckland? et bien peu de choses. Le premier mois a été en effet consacré à l'installation, logement et travail. Emportés par une nouvelle routine, un mois venait de passer sans être sortis d'Auckland.
Nous avons donc décidé de nous rappeler que nous étions dans le Pacifique sud et de partir dans les îles...enfin celles au large d'Auckland à une demi-heure de ferry.
Tout d'abord l'île de Waiheke.
Profitant d'un rayon de soleil et d'une pluie qui s'épuisa dès le milieu de la matinée, nous nous mîmes en chemin pour le port d'Auckland où se mêlent voiliers de tous calibres, yachts, barques et ferrys. De là un service régulier de ferry assure les liaisons avec les différentes îles du golfe d'Hauraki et de la baie d'Auckland. Certains banlieusards, comme ceux habitant Devonport, prennent d'ailleurs le ferry pour rejoindre leur lieu de travail dans le CBD d'Auckland situé dans le port.
La journée démarrant bien nous décidons d'ignorer les loueurs de voitures et de vélos pour marcher le long de la côte et à l'intérieur des terres sur une petite portion de cette île. Sa taille respectable nous empêcha en effet d'en faire le tour à pied, mais ce n'est que partie remise.
En chemin nous passons d'une ballade classique de bord de mer où les villas rivalisent, au choix, de luxe ou de mauvais goût, pour profiter au détour d'un sentier des vignes ou de plages aussi désertes que minuscules. Les traditionnels moutons néo-zélandais sont bien évidemment au rendez-vous.
Puis vient le moment de nous enfoncer dans les terres à la rencontre de la jungle néo-zélandaise. Là, malgré les bruits tous plus étranges les uns que les autres, ni tigres, crocodiles ou encore moins singes, mais des oiseaux à profusions. Leurs cris et gazouillements nous saisissent d'étonnement, nous sommes vraiment dans un autre hémisphère, à l'autre bout du monde où le chant le plus anodin d'un oiseau ne nous rappelle rien. Pas de pigeon roucoulant ou de moineaux qui pépient. Entourés de tout un tas de fougères et de palmiers tous plus déconcertant les uns que les autres, la "jungle sauvage" referme son enfer vert sur nous...pour aboutir au détour d'un chemin à une oliveraie, posée de manière incongrue sur un parfait gazon. Les quelques méditerranéens qui nous lisent seront étonnés du contraste, mais oui, on produit bien de l'huile d'olive en N-Z et notamment sur l'île de Waiheke. D'ailleurs les moulins fermait le jour de notre visite et ce qui annonce donc la fin de la récolte.
Nos finissons par arriver dans le village d'Oneroa où nous prenons nos aises sur une plage, passant devant des constructions maoris, avant de rentrer vers Auckland avec le soleil couchant.
Après 30 minutes à jouer les malins sur le pont supérieur du ferry pour profiter du paysage, nous arrivons congelés par les embruns et une fine pluie à Matiatia, le principal débarcadère de Waiheke. Le soleil se lève et nous permet d'admirer une charmante petite crique paisible, entourée de vertes collines plongeant dans l'Océan.
La journée démarrant bien nous décidons d'ignorer les loueurs de voitures et de vélos pour marcher le long de la côte et à l'intérieur des terres sur une petite portion de cette île. Sa taille respectable nous empêcha en effet d'en faire le tour à pied, mais ce n'est que partie remise.
En chemin nous passons d'une ballade classique de bord de mer où les villas rivalisent, au choix, de luxe ou de mauvais goût, pour profiter au détour d'un sentier des vignes ou de plages aussi désertes que minuscules. Les traditionnels moutons néo-zélandais sont bien évidemment au rendez-vous.
Puis vient le moment de nous enfoncer dans les terres à la rencontre de la jungle néo-zélandaise. Là, malgré les bruits tous plus étranges les uns que les autres, ni tigres, crocodiles ou encore moins singes, mais des oiseaux à profusions. Leurs cris et gazouillements nous saisissent d'étonnement, nous sommes vraiment dans un autre hémisphère, à l'autre bout du monde où le chant le plus anodin d'un oiseau ne nous rappelle rien. Pas de pigeon roucoulant ou de moineaux qui pépient. Entourés de tout un tas de fougères et de palmiers tous plus déconcertant les uns que les autres, la "jungle sauvage" referme son enfer vert sur nous...pour aboutir au détour d'un chemin à une oliveraie, posée de manière incongrue sur un parfait gazon. Les quelques méditerranéens qui nous lisent seront étonnés du contraste, mais oui, on produit bien de l'huile d'olive en N-Z et notamment sur l'île de Waiheke. D'ailleurs les moulins fermait le jour de notre visite et ce qui annonce donc la fin de la récolte.
Nos finissons par arriver dans le village d'Oneroa où nous prenons nos aises sur une plage, passant devant des constructions maoris, avant de rentrer vers Auckland avec le soleil couchant.